Transfert, fusion et acquisition: un tremplin pour la croissance

Trois entrepreneurs de Québec racontent leur expérience

Jeudi 4 octobre 2018
La réalisation d’un projet de transfert, d’acquisition ou de fusion propulse souvent les entreprises vers un nouveau stade de croissance. Trois entrepreneurs de la région de la Capitale-Nationale témoignent de leur expérience et des stratégies qu’ils ont adoptées pour ce faire.

Tous les épisodes de la série Objectif croissance sont disponibles ici.

En fusionnant avec l’entreprise Agyl, Cortex, la société de services numériques fondée par Jean-Michel Lebeau, a doublé ses effectifs. Elle a ensuite défini de bonnes règles de gouvernance pour conserver une vue d’ensemble de ses opérations. À titre d’exemple, son comité exécutif se réunit une fois par mois, tandis que son comité de direction examine diligemment chaque semaine les différents indicateurs de performance. 

Quant à Laura Boivin, elle a fait l’acquisition de Fumoir Grizzly avec son conjoint. Après une période de transition entre l’ancien et les nouveaux actionnaires qui a duré 18 mois, l’entrepreneure a mis en œuvre un plan d’action pour assurer la croissance de l’entreprise. Cette stratégie impliquait une phase d’innovation, une planification stratégique et l’élargissement de la gamme de produits pour permettre l’ouverture à l’exportation.

En devenant présidente et directrice générale de Jambette, Marie-Noël Grenier a misé sur le développement de produits pour assurer la croissance de l’entreprise.

« On a complètement changé nos produits, ce qui a mis de l’avant une grosse équipe de conception. Pour garder cette équipe à l’année, la solution était de sortir du Québec. »

Marie-Noël Grenier

Cet épisode d’Objectif croissance a été réalisé en collaboration avec LE CAMP.